-
Par Thordruna le 9 Février 2011 à 09:01
King of nothing, Stratovarius
_________________________
LII. Ici les métaphores coïncident, et celui qui interprète le langage de la poésie apprend à distinguer de quel roi il est question ; car il est correct d'appeler l'empereur de Constantinople roi des Grecs, et de même d'appeler le roi qui règne sur la terre de Jérusalem roi de Jérusalem, et aussi d'appeler l'empereur de Rome le roi de Rome, et d'appeler Roi des Angles celui qui gouverne l'Angleterre. Mais la périphrase citée précédemment qui nomme Christ Roi des Hommes pourrait être utilisée pour n'importe quel roi. Il est donc plus correct d'utiliser pour les rois les périphrases suivantes : Dirigeants de la terre, Gardiens de la terre, Conquérants de la terre ou Chefs des guerriers, Gardiens du peuple.
Ainsi chanta Eyvindr Skaldaspiller :
Celui qui nourrit les corbeaux
A été coupé de la vie
Par les Rois de la terre
A Öglo.
Et comme chanta Glúmr Geirason :
Le prince sous son heaume
Fit rougir l'épée aiguisée sur la pierre
Sur les Gots ; alors le Gardien de la terre
Se retrouva dans le vacarme grinçant des lances.
Harald Haarfager Ier de Norvège.
Ainsi que chanta Thjódólfr :
Mon souhait est que le glorieux chef
Des hommes d'armes, au cœur heureux,
Laisse à ses fils l'héritage
Et la terre de son vaste patrimoine.
Comme chanta Einarr :
Le gardien de la terre à l'âme vaillante
Porte le heaume sur sa tête solide ;
Le barde raconte devant les héros
La gloire du roi de Hördland.
Harald Sigurdarson Hardradi III de Norvège, le "dernier viking"
Il est également licite de nommer Christ Roi des roi, puisque les rois lui sont soumis. Un empereur est au-dessus d'un roi, et sous lui est le seigneur qui règne sous un peuple, mais chacun d'entre eux est l'égal des autres dans les périphrases utilisées en poésie. Auprès d'eux sont les hommes nommés comtes ou chefs, et ils sont en métaphore égaux au rois, à part qu'on ne peut leur appliquer la mention d'une nation.
Et ainsi chanta Arnorr Scalde du Comte au sujet du Comte Thorfinnr :
Laissons les hommes écouter comment le roi des comtes
Hardi en esprit, rechercha la mer ;
L'irrésistible seigneur
Ne manqua pas de déjouer l'océan.
A côté de ces figures poétiques existent celles dans lesquelles les hommes sont nommés chefs : on peut utiliser des périphrases pour les qualifier comme s'il s'agissait de rois ou de comtes, en les appelant : dispensateurs d'or, généreux en richesse, hommes des étendards et capitaines des hôtes, ou conducteurs des chars de la bataille ou des rangées de guerriers; en effet, chaque roi dirigeant une nation, régnant sur de nombreuses régions, désigne des rois secondaires et des comtes et les réunit sous son autorité, pour faire appliquer les lois du pays et le défendre contre les attaques jusque dans les zones les plus reculées et les plus éloignées du roi. Et dans ces dernières, ils doivent être considérés comme l'égal du roi lui-même lorsqu'ils rendent la justice et prononcent les peines. Il y a beaucoup de districts dans un seul pays; et c'est l'habitude des rois de nommer au moins autant d'hommes de loi qu'il y a de régions qu'il choisit de mettre entre leurs mains. Ces légataires sont nommés Chefs ou Hommes du pays en langue danoise, récifs (reeves) en saxon et barons en Angleterre. Ils doivent être des juges intègres et des guerriers loyaux pour la contrée qui leur est confiée pour y exercer leur gouvernance. Si le roi n'est pas à proximité, son étendard doit être arboré devant eux dans la bataille ; et ils sont alors des chefs de guerre presque aussi fiables que des rois ou des comtes.
Juste sous eux dans la hiérarchie se trouvent les hommes nommés hommes francs ; ce sont des propriétaires de grandes terres, d'honorable lignage, et riches de nombreuses possessions. On peut utiliser pour les désigner les périphrases suivantes : donateurs de richesse, protecteurs, et conciliateurs des hommes ; les jarls peuvent également porter ces titres.
Rois et comtes ont également dans leur suite des hommes nommés écuyers et uskarls ; les propriétaires terriens ont aussi à leur service des hommes nommés écuyers au Danemark et en Suède, et uskarls en Norvège, et ces hommes prêtent serment de les servir, de la même façon que les écuyers pour les rois. Les uskarls des rois étaient fréquemment nommés écuyers dans l'ancien temps du paganisme.
Ainsi chanta Thorvaldr Scalde Mêlé
Salut, Roi, rapide dans l'assaut !
Et tes uskarls vigoureux avec toi !
Dans leurs bouches, les hommes ont mes vers,
Fait pour une chanson de prière.
Le roi Haraldr Sigurdarson composa ceci :
L'homme plein de puissance attendit
Que soit occupé le siège du roi ;
Souvent j'ai vu, sur les talons du comte,
Des foules de uskarls.
Ecuyers et Uskarls peuvent être désignés sous les termes de Gardes de la Maison, ou troupe de mercenaires, ou hommes d'honneur.
Ainsi chanta Sigvatr :
J'ai appris que la troupe des guerriers mercenaires
Livra cette bataille sur l'eau
Récemment : Ce n'est pas la moindre
Des chutes de neige sur les boucliers dont je parle.
Et ensuite :
Lorsque sur le coursier des haubans
Atterrissait l'acier claquant
Ce n'était plus la même chose que lorsque les servantes
Apportaient l'hydromel des chefs aux vainqueurs de l'honneur.
Le salaire que les chefs donnent à leurs écuyers est nommé gages et dons ; ainsi chanta Óttarr le Basané :
Je dois choisir le Briseur
De la lumière des batailles des hommes courageux :
Ici se tient la veillée vaillante pour la guerre
Des rois sages assemblés.
Les comtes et les chefs et les écuyers sont nommés Conseillers ou Amis du Discours ou Compagnons de banc du roi, comme Hallfredr chantait :
Le conseiller, puissant dans la bataille,
Du Prince, à qui son audace plaît,
Laisse les mauvaises herbes promptes à la querelle de Högni,
Forgées sous le marteau, résonner sur lui.
Comme chanta Snaebjörn :
L'ami du discours du roi laissa
Le cheval de course à la longue coque et au gouvernail encordé
Stabiliser le bec d'acier semblable à une épée
Du vaisseau face aux rudes vagues.
Ainsi chanta Arnórr :
Mes jeunes fils portent pour mon compte
Le profond chagrin pour le meurtre
Du Comte, assassiné par un meurtrier,
Le compagnon de Banc du monarque.
On peut utiliser également la périphrase : ami du conseil royal. Ainsi chanta Hallfredr:
Il fut décidé en conseil
Que l'ami du roi, sage dans ses avis,
Devrait épouser la Terre, seule fille
D'Onarr, verte et boisée.
On peut également désigner l'homme par sa famille ; ainsi chanta Kormákr :
Que le fils du véritable ami de Harald
Prête l'oreille, et m'écoute :
J'élève ma chanson, le courant d'écume
Des monstres couverts de neige pour Sigurd.
Il nomme le Comte véritable ami du roi, et Hakon, fils du Comte, Sigurd.. Et Thjódólfr chanta également, au sujet d'Haraldr :
Autour du seigneur d'Olaf
A grandi la colère de la tempête des couteaux d'acier,
Puisque chaque acte de courage
Est digne de la récompense de la gloire.
Et encore :
Jarisleif put distinguer
La route empruntée par le roi :
Le courageux fils du saint seigneur
Vainquit par d'ardentes prières.
Et ensuite :
Il avait le souffle coupé,
Celui qui porta avant tout la récompense, ---
Du magnanime parent des chefs,
Le fils du frère de Haraldr.
Arnorr chanta aussi, dans la chanson de prière de Rögnvaldr :
Le parent d'Heiti, preux à la guerre,
Devint mon parent par son mariage ;
Le lien très fort du mariage du Comte
Nous restitua notre honneur.
Et encore, au sujet du Comte Thorfinnr, il chanta :
Les épées bien affûtées mordirent vivement
Le descendant du vieux Rögnvaldr, dans le sud
De la terre des hommes, où se ruèrent les robustes guerriers
Sous le cerclage protecteur des boucliers.
Et plus loin :
O Dieu, garde le glorieux
Et le meilleur des fils du grand Einarr
De tout dommage ; je prie, sois miséricordieux
Pour lui, aimé de ses chefs fidèles.
Et Einarr Ecaille-Sonore chanta :
Le pilier de la maison familiale
De Hilditönn ne manque pas
De hardiesse plus que généreuse :
Je persiste dans ma louange."
votre commentaire -
Par Thordruna le 11 Février 2011 à 08:27
LIII. ''- Comment traite-t-on des termes impliqués dans la poésie ?''
"- En appelant chaque chose par son nom propre."
"- Quels sont les termes les plus simples pour Poésie ?"
"- On la nomme poésie, chant de gloire, louange et prière."
Bragi l'Ancien chanta ceci, alors qu'il voyageait à travers une forêt tard dans la soirée: une femme troll le héla en vers, en demandant qui passait :
Les trolls me nomment
------ de la Lune
------ du géant,
Balle du soleil de la tempête (?)
Compagne de misère de la Sibylle
Gardienne de la terre ceinte de l'anneau,
Dévoreuse annulaire des cieux,
Qu'est-ce qu'un troll à part cela ?
Il répondit donc :
Les scaldes me nomment
Artisan des formes de Vidurr,
Distributeur des cadeaux de Gautr,
Barde habile,
Porteur de la bière d'Ygg,
Arrangeur de chansons,
Adroit forgeron des vers,
Qu'est-ce qu'un scalde à part cela ?
Et comme chanta Kormakr :
C'est pour le grand fils de Hakon,
Que je chante, et de très loin, le plus de louanges :
Je lui paie le tribut poétique
Des dieux. Thor était assis dans son char.
Et comme chanta Thórdr Kolbeinsson :L'érable au bouclier laissa de nombreux vaisseaux
Et les navires marchands, et les rapides
Bateaux de guerre prendre la mer ;
Le scalde étire son chant d'éloge.
Louange, comme chanta Úlfr Uggason :
Maintenant les rivières viennent à la mer.
Mais auparavant, j'ai chanté la louange
Du messager de la pluie d'épées :
Alors j'entonne la prière des guerriers.
Ici, la poésie est aussi nommée prière.
L'enseignement du scalde. Engerlhard.
LIV."- Comment sont nommés les dieux ?
On les appelle Fers ou Entraves comme chanta Eyjólfr le Scalde Vaillant :
Eiríkr attire les terres à lui
Au plaisir des Entraves,
Et modèle les batailles de lances.
Et Cordes, Liens, comme chanta Thjódólfr de Hvin:
Habile à mystifier les dieux
Il se montra avec les Cordes rude dans le partage
Des os ; la tête encapuchonnée d'un heaume,
Il vit les Puissances bouillir de rage.
Puissances, comme chanta Einarr Ecaille-Sonore
Je dis que les Puissances influentes
Favorisent l'empire de Hakon.
Jolnar (Odin), comme chanta Eyvindr:
Nous avons organisé
La fête de Jolnar,
La chanson de prière du Prince,
Solide comme un pont de pierre1.
Divinités, comme chanta Kormákr :
Le Donneur de Terres, qui lie
La voile au sommet du mât avec un lien d'or
Honore celui qui déverse l'hydromel de la poésie des divinités.
Odin forgea des charmes pour Rind."
votre commentaire -
Par Thordruna le 17 Février 2011 à 08:14
LV ''D'autres noms des cieux sont connus (mais nous n'avons pas trouvé tous ces termes dans des poèmes ; et ces termes scaldiques, comme d'autres, ne sont pas bons à utiliser dans la rédaction scaldique, il me semble, sauf si on les trouve d'abord dans les œuvres des maîtres scaldes): le Ciel, Hlýrnir, Heidthornir, tempête de Mimir, longue étendue, voyage de la lumière, conducteur, ciel le plus élevé, large brasse, reste de Mimir, Eclair, Destructeur, Bleu immense. Le disque solaire est appelé Soleil, Gloire, toujours brillant, très brillant, regard, roue blonde, rai de guérison, partenaire de Dvalinn, rayon elfique, luminaire. La planète lunaire est nommée Lune, celle qui croît, La très pâle, la compteuse d'années, la Byzantine (Fengari), la charmeuse, la diligence, le croissant, l'éblouissement.
LVI. "Quels sont les termes simples pour la Terre ?
Elle est nommée Terre, ainsi que chanta Thjódólfr:
Celui qui exhorte hardiment à la pluie de pointes
Provoqua souvent une rude averse d'épées,
Avant que devant lui la vaste Terre
Il ne soumette par la bataille.
Champ, comme chanta Ottar :
Le Prince garde le Champ :
Peu de rois sont aussi puissants ;
Oleifr engraisse l'aigle,
Le roi de Suède est le premier de tous.
Sol, comme chanta Hallvardr :
Le large sol, lié sous la vipère au venin froid,
Fut soumis au guerrier
A l'or entassé de l'île des Entraves ;
Le Seigneur de la Terre des silex partagea ce trésor.
Patrie (Haudr1), comme chanta Einarr :
Les héros braves défendent
La ferme patrie des Princes fameux
De leur épée ; souvent le heaume se fend
Sous la furieuse tempête des fils d'épée.
Pays, comme chanta Thórdr Kolbeinsson :
Le pays, après la bataille
A été réduit depuis Veiga vers le nord
A Agdir au sud, ou plus encore ;
Il est difficile de chanter dans un conflit.
Fief, comme chanta Óttarr :
Toi, ardent bâton de guerre, maintins
Ton fief en dépit de deux monarques
A l'aide des fils de héros, là où les corbeaux
Ne jeûnèrent pas : tu as le cœur vaillant.
Hlödyn (personnification de la terre), comme chanta Völu-Steinn :
Je me souviens de la façon dont bailla la sombre terre
Avec sa bouche sculptée pour l'orateur
Des mots d'or du géant
Des os solides de la verte Hlödyn.
Région, comme chanta Úlfr Uggason :
Mais la corde raide du bord du monde, aux yeux clignotants,
Regardait la terre au-delà du plat-bord,
Vers le sorbier des oiseleurs de la région
De la pierre, le Maître des géants.
Fjörgyn, ainsi qu'il est dit ici :
J'ai été fidèle au libre voyageur
Du lit torrentiel du serpent de Fjorgyn :
Que l'honneur soit étroitement gardé
Par le dispensateur de l'or du fleuve des géants.
LVII. "Il est correct d'utiliser pour périphrases pour le sang ou la chair les termes désignant la bête nommée Egorgeur (Etrangleur), en les nommant sa nourriture et sa boisson ; il est incorrect d'en parler en utilisant d'autres bêtes. L'égorgeur est également nommé Loup.
Ainsi que chanta Thjódólfr :
Le Grand Corbeau avait suffisamment été convié (au festin)
Lorsque le fils de Sigurdr
Vint du Nord, afin d'attirer
le Loup hors du bois vers les blessures.
Ici, il est également nommé le grand corbeau.
Le Vorace, comme chanta Egill :
Le Vorace déchiqutait
D'effroyables plaies, lorsque clapota
Le ruisseau rouge
Sur le bec du corbeau.
Bête-Sorcière, comme chanta Einarr :
Le Götha, gelé par le poison,
Etait rougi du chaud bouillonnement des blessures.
L'ardente boisson de la Bête-Sorcière, mêlée
D'eau, s'écoula dans la mer.
Louve, comme chanta Arnorr :
L'engeance maléfique de la Louve
Engloutit le cadavre, gonflé et grouillant,
Tandis que la mer verte avait viré
Au rouge, mêlée de sang.
Egorgeur, comme chanta Illugi :
Ce fut la joie de l'Egorgeur,
Lorsque mon seigneur pourchassa tant de guerriers ;
Avec l'épée, le bourreau des colliers
Transperça le sombre Serpent de la Forêt.
Ainsi chanta Hallr :
Il rassasia la faim de la bête des landes :
Le givre hurlant se réjouit des plaies ;
Le roi rougit la moustache du Sauvage,
Le Loup vint boire aux blessures.
Et encore, comme chanta Thórdr :
Dans le sang pataugea l'étalon de Gjálp,
La meute poussiéreuse se gorgea
Du blé du Vorace ; le Hurleur
Savoura la sanglante boisson du Grand Corbeau.
L'Ours est nommé Large-Pas, Ourson, Ourse, Jeune Garçon, Jeune Ours, Mastodonte, celui qui Gronde, Jölfudr, Tranchant-Têtu, Chasseur de chevaux, Griffeur, l'Affamé, Blomr, celui qui se démène.
Le cerf est nommé Módrödnir2, Dalarr, Dalarr, Dalr, Dáinn, Dvalinn, Duneyrr, Durathrór. Ce sont les noms des cerfs broutant le feuillage d'Yggdrasil.
Et voici les noms des chevaux énumérés dans les ''Comptines'' de Thorgrímr3 :
Hrafn4 et Sleipnir,
Les fameux chevaux ;
Valr5 et Léttfeti ;
Tjaldari6 était là aussi ;
Gulltopr et Goti ;
J'ai entendu parler de Sóti7 ;
Mór8 et Lungr avec Marr9.Vigg10 et Stúfr11
Etaient avec Skævadr12
Blakkr13 portait facilement Thegn ;
Silfrtoppr et Sinir14
J'ai entendu parler de Fákr15;
Gullfaxi and Jór16 étaient avec les Dieux.Blódughófi17 engendra un cheval
Dont on disait qu'il porta
La force par excellence Atridi ;
Gísl18 et Falhófnir19
Glær20 et Skeidbrimir21;
Il est aussi fait mention de Gyllir22.On en parle aussi dans la Kálfsvísa :
Dagr chevauchait Drösull23,
Et Dvalinn montait Módnir24;
Hjálmthér, Háfeti25;
Haki montait Fákr;
Le Tueur de Beli
Chevauchait Blódughófi,
Et Skævadr était monté
Par le Maître des Haddings.Vésteinn galopait sur Valr,
Et Vifill sur Stúfr;
Meinthjófr chevauchait Mór,Et Morginn Vakr 26;
Áli montait Hrafn,
Et ils galopaient sur la glace :
Mais un autre, dans le sud,Sous Adils,
Un cheval gris, vagabondait,
Blessé par une lance.
Björn montait Blakkr,
Et Bjárr Kertr27;
Atli chevauchait Glaumr28,
Et Adils Slöngvir29;
Högni sur Hölvir30,
Et Haraldr sur Fölkvir ;
Gunnarr montait Goti31,
Et Sigurdr, Grani.Arvakr32 and Alsvidr33 tirent le soleil, ainsi qu'il est indiqué précédemment ; Hrímfaxi34 et Fjörsvartnir35 tirent la nuit ; Skinfaxi36 and Gladr37 sont les chevaux de Dagr.
"Ces noms de bœufs se trouvent dans les ''Comptines'' de Thorgrímr :
J'ai fidèlement appris
Les noms de tous les boeufs :----
Les voici : Raudr38 et HSfir39,
Rekinn40 et Hýrr41,---Himinhrjódr42 et Apli43,
Arfr44 et Arfuni45.
Voici les noms des serpents : Dragon, Fáfnir, Monstre puissant, Vipère, Nídhöggr, Ver acide, Vipère femelle, Góinn, Móinn, Grafvitnir, Grábakr, Ófnir, Sváfnir, L'Encapuchonné.Des bêtes à cornes : vache, veau, bœuf, génisse, taurillon, bouvillon, taureau.
Des ovins : bélier, mâle, brebis, agneau, mouton.
Des porcins : verrat, truie, sanglier, cochon, porcelet.
4 Corbeau, 5 Faucon, 6 Coureur ?, 7 Couleur de suie, 8 Gris foncé, 9 Coursier, 10 Porteur, 11 Courtaud, 12 Botteur, 13 Noir, 14 Nerveux, 15 Mégère, 16 destrier, 17 Sabot de sang, 18 Otage, 19 Sabot creux, 20 Brillant, 21 Vif Galopeur, 22 Doré, 23 Vagabond, 24 Inspiré, 25 Hauts-Talons, 26 Vigilant ?, 27 Chandelle ?, 28 Tumulte, 29 Frondeur, 30 Cheval ?, 31 Goth, 32 Tôt-Levé, 33 Très-Vif, 34 Crinière de givre, 35 Sombre-Vie, 36 Crinière brillante, 37 Radieux, 38 Rouge, 39 Rencontre, 40 Conduit, 41 Gentil, 42 Bord du ciel, 43 Taureau, 44 Héritage, 45 Héritage.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique