• asyne, asynies, asynjur 

    Asynes, asynjur

     

    Majorité des illustrations : Grace Palmer 

    Voir aussi les diaporamas Images de Freyja, Frigga et Idunn

     

     mythologie nordique                                                                                                                                                                                                    mythologie nordique 


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  • Gylfaginning

    Rotlaust tre fell (Album "Yggdrasil"). Wardruna.

     

    _________________________

     

    XIV- Gangleri demanda alors : "- Que fit Alfather lorsqu'Asgard fut bâti ?"

    Très-Haut répondit : "- Pour commencer, il établit des gouverneurs, et leur demanda de fixer avec lui le destin des hommes et de lui donner conseil sur l'organisation de la citadelle. Ceci se produisit à l'endroit nommé Idavoll1, au milieu de la cité. Leur première tâche consista en l'édification de la cour où se dressaient leurs sièges, au nombre de douze, ainsi que le haut-siège d'Alfather lui-même. Cette demeure a été la plus habilement réalisée de toutes celles qui se trouvent sur terre, et la plus vaste. Aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, elle semblait faite d'un seul bloc d'or. Les hommes l'appellent Gladsheim2. Ils bâtirent ensuite une deuxième demeure, un temple en l'honneur des déesses, et en firent un édifice magnifique. Les hommes le nomment Vingolf. Puis ils érigèrent une maison en laquelle ils placèrent une forge et qu'ils équipèrent d'un marteau, de tenailles et d'une enclume, et, en les utilisant, de tous les autres outils. Après quoi, ils travaillèrent le métal, la pierre, et le bois, et si abondamment le métal nommé or qu'ils en fabriquèrent tous leurs objets ménagers et leur vaisselle. Et cette époque fut nommée "âge d'or", avant qu'elle ne fut troublée par la venue des femmes, celles qui arrivèrent de Jotunheim.

     

    Peu après, les dieux s'installèrent sur leurs trônes et délibérèrent, et se souvinrent de l'apparition et de la naissance des nains dans la matrice du plus profond de la terre, comme des vers dans la chair. Car les nains avaient reçu forme et vie dans la chair d'Ymir, et étaient alors comme des vers ; et ce fut sur décision des dieux que leur fut octroyée la conscience et l'intelligence des hommes, et forme humaine. Mais ils continuèrent à vivre dans la terre et les rochers. Modsognir3 fut le premier et Durinn le deuxième. Ainsi est-il dit dans la Voluspa :

    "Alors les dieux siégèrent dans la salle du jugement,

    Les divinités suprêmes se consultèrent

    Pour savoir qui donnerait forme au peuple des nains,

    Issu du sang de Brimir et des os de Blain. 

    Etaient présents Modsognir, devenu le plus grand de tous les nains,

    Et Durinn, le deuxième ; ils façonnèrent un grand nombre

    D'êtres à forme humaine, les nains dans la terre,

    Comme Durinn le prescrivit."

    Et, dit la Sibylle, tels sont leurs noms :

    Nýi et Nidi, Nordri et Sudri,

    Austri et Vestri, Althjóf, Dvalinn,

    Nár et Náinn, Níping, Dáinn,

    Bívurr, Bávurr, Bömburr, Nóri,

    Ánn et Ónarr, Ái, Mjódvitnir.

    Vigg et Gandalf, Vindalf, Thraínn,

    Thekk et Thórinn, Thrór, Vitr, Litr,

    Nýr et Nýrá, Reginn et Rádsvinn".

    Et voici ceux des nains qui résident dans les pierres, alors que les précédents habitent dans la terre :

    "Draupnir et Dolgthrasir,

    Hár, Haugspori, Hlévang, Glóinn,

    Dóri, Óri, Dúf, Andvari,

    Heptifili, Har, Sviar."

    Et ceux-ci se rendirent de Svarinshaug en Aurvangar, dans les plaines des Ioruvellir, et c'est d'eux que descend Lovar. Voici leurs noms :

    "Skirfir, Virfir, Skáfid, Ái,

    Alf et Yngvi, Eikinskjaldi,

    Fjalar, Frosti, Finn et Ginnar."

     

    Gylfaginning, dverg

    Les Nains. Frolich / Pietsch / Doepler / Caselli

     

    XV- Gangleri dit : "- Où se situe le chef-lieu sanctuaire des dieux ? ".

    Très-Haut répondit : "- A l'emplacement où s'élève le frêne Yggdrasil. Là, chaque jour, les dieux doivent rendre la justice."

    Gangleri demanda : "- Que peut-on dire de cet endroit ? "

    Egal du Très- Haut prit la parole : "- Le frêne est le plus grand de tous les arbres et le meilleur. Ses rameaux s'étendent sur la totalité du monde, se dressent sous les cieux. Trois énormes racines de l'arbre le soutiennent : l'une arrive chez les Ases, une autre chez les géants du givre, en cet endroit où se trouvait autrefois le Vide Béant. Elle traverse Niflheim, et sous cette dernière jaillit Hvergelmir, et Nidhogg ronge la racine par dessous.

     

    Gylfaginning III

    Yggdrasil. F. Stassen.

     

    Mais sous cette racine qui se dirige vers les géants de givre se trouve aussi le puits de Mimir, où sont contenues toute sagesse et intelligence. Et celui qui garde le puits se nomme Mimir.

     

    Gylfaginning III

    Odin chez Mimir. C.E. Doepler.

     

    Il connaît tous les anciens savoirs, buvant chaque jour au puits avec la corne Gjallarhorn. Alfather s'y rendit, et sollicita une gorgée de cette eau. Mais il ne l'obtint qu'en ayant mis son œil en gage.

    Ainsi est-il dit dans la Voluspa :

    "Je sais fort bien, Odin, où tu as caché ton œil,

    Dans le puits de Mimir. Mimir boit l'hydromel,

    Chaque matin, dans le gage de Valfadr."

    " En savez-vous davantage ? Ou quoi ?"

    La troisième racine du frêne parvient aux cieux. Et sous cette racine se trouve le puits très sacré nommé puits d'Urdr. Là, les dieux tiennent leur cour de justice. Chaque jour, les Ases chevauchent par le Bifrost, aussi appelé Pont des Ases. Voici les noms des montures des Ases : Sleipnir (celui qui glisse) est le meilleur, qui appartient à Odin. Le deuxième est Gladr (Brillant, ou Heureux), le troisième Gyllir (Doré), le quatrième Glenr (le Clair), le cinquième Skeidbrimir (celui qui s'ébroue ou coursier des eaux), le sixième Silfrintoppr (tête d'argent), le septième Sinir (le Nerveux), le huitième Gisl (le Rayonnant), le neuvième Fallhofnir (Sabot Velu), le dixième Gulltopr (Tête d'Or), et le onzième Lettfeti (Pied léger). Le cheval de Baldr fut brûlé avec lui, et Thor va à pied au jugement et patauge dans les rivières qui sont ainsi nommées4:

    "Körmt et Ormt, et les deux Kerlaug, 

    Doit guéer Thor chaque jour,

    Quand il va rendre verdict sous le frêne Yggdrasil, 

    Car le pont des Ases est tout enflammé,

    Et les eaux sacrées bouillonnent."

     

    Gylfaginning, thor, frolich

    Thor patauge. L. Frolich.

     

    Gangleri reprit alors : "- Le feu brûle-t-il donc sur Bifrost ?"

    Très-Haut répondit : "- Ce que vous voyez coloré en rouge sur l'arc est un feu brûlant. Les géants des collines iraient comme bon leur semble au ciel si Bifrost était ouvert à tous ceux qui veulent traverser. Il y a beaucoup de demeures plaisantes dans le ciel, et sur toutes choses, les dieux veillent. A proximité de la source, sous le frêne, se dresse une halle magnifique, d'où sortent trois jeunes filles, ainsi nommées : Urdr, Verdandi et Skuld5. Ces vierges déterminent la durée de vie des hommes. Nous les appelons les Nornes. Mais il existe de nombreuses autres nornes : celles qui viennent à chaque enfant à sa naissance, pour façonner sa vie. Les premières sont d'essence divine, mais les suivantes sont du peuple des elfes, et d'autres de celui des nains, comme il est dit ici6:

    "Les Nornes peuvent être de nombreuses naissances,

    Puisqu'elles ne sont pas d'une seule race ;

    Certaines sont parentes des dieux, d'autres des elfes,

    Et certaines filles de Dvalin."

     

    Gangleri demanda : "- Si les Nornes déterminent les destinées des hommes, alors elles tranchent de manière extrêmement inégale : certains ont une vie agréable et aisée, mais d'autres peu de biens ou de gloire. Certains vivent longtemps, d'autres meurent très jeunes."

    Très-Haut répondit : "- Les Nornes bienveillantes et de bonne race décident des bonnes vies. Mais les hommes qui pâtissent de destins hostiles sont sous la gouvernance de Nornes malveillantes."

     

    XVI- Gangleri s'enquit alors : "- Qu'y a-t-il d'autre à dire de remarquable sur le frêne ?".

    Très-Haut reprit la parole : "- On pourrait en dire bien des choses. Sur ses branches est perché un aigle, au savoir immense. Et entre ses yeux siège le faucon nommé Vedrfölnir. L'écureuil Ratatosk grimpe et descend tout le long du frêne, transmettant les messages haineux que s'échangent l'aigle et Nidhogg. Et quatre cerfs, ainsi nommés : Dáinn, Dvalinn, Duneyrr et Durathrór, courent dans les branches de l'arbre et en mangent les feuilles. En outre, d'innombrables serpents, si nombreux que nulle langue ne peut les compter, grouillent dans Hvergelmir en compagnie de Nidhogg, ainsi qu'il est dit ici7 :

    "Le frêne Yggdrasill

    endure plus de tourments 

    Que ne soupçonnent les hommes :

    Les cerfs le broutent en haut

    Son tronc pourrit,  

    Nidhögg le ronge en bas.

    Et il est dit aussi :

    "Il y a plus de serpents sous le frêne  

    Que ne soupçonnent les singes malavisés.

    Goinn et Moinn,

    Ce sont les fils de Grafvitnir,

    Grabakr et Grafvöllud,

    Ofnir et Svafnir,

    Rogneront toujours, je le sais,

    Les rameaux de l'arbre. "

    On dit encore que les Nornes qui vivent près du puits d'Urdr y puisent de l'eau chaque jour, et avec elle la boue qui se répand autour du puits, et qu'elles en aspergent le frêne afin que ses branches ne sèchent ni ne pourrissent. Car cette eau est si sacrée que toutes choses entrant dans le puits devient aussi blanche que la pellicule qui tapisse à l'intérieur la coquille de l'œuf, ainsi qu'il est dit ici8 :

    "Je sais que se dresse le frêne

    Qu'on nomme Yggdrasil,

    L'arbre élevé, sacré,

    Aspergé de blanche boue :

    De là vient la rosée

    Tombant dans les vallées,

    Toujours vert, il s'élève

    Au-dessus du Puits d'Urdr."

     

    Gylfaginning, snorri sturluson

    Les Nornes auprès d'Urdabrunn. L. Frolich.

     

    La rosée qui tombe de là sur la terre est nommée "miellée" par les hommes, et les abeilles s'en nourrissent. Deux oiseaux vivent dans le puits d'Urdr, on les appelle des cygnes, et d'eux proviennent les oiseaux de cette espèce."

     

    XVII- Gangleri ajouta : "- Vous connaissez de grandes choses au sujet du ciel. Mais est-il d'autres résidences que celle située à proximité de la source d'Urdr ? " 

    Très-Haut répondit : "- Il existe de nombreuses et glorieuses demeures. L'une d'elle est nommée Alfheim, où vit le peuple des Elfes de lumière, tandis que les Elfes Sombres habitent profondément sous terre. Ils sont fort différents d'aspect, et plus encore de nature. Les Elfes de lumière sont plus magnifiques à voir que le soleil, tandis que les Elfes de Ténèbres sont noirs comme la poix.

     

    Gylfaginning, snorri sturluson

    Les Alfes. Nils Blommer.

     

    Une autre demeure se nomme Breidablick9, et il n'en existe pas de plus belle dans les cieux. Là se trouve également un palais nommé Glitnir et dont tous les murs, piliers et colonnes sont d'or rouge, mais dont le toit est d'argent. De même, il y a là la résidence appelée Himinbjörg10, qui est située au bout du ciel, à l'endroit où le Bifrost rejoint les cieux. Une autre grande demeure s'y trouve, nommée Valaskjálf11. Odin en est le propriétaire. Les dieux l'ont bâtie, et recouverte d'un toit d'argent massif, et dans son entrée se trouve le haut-siège appelé Hlidskjálf12. Lorsqu'Odin s'y assied, il voit la totalité du monde.

    A l'extrémité méridionale du ciel se tient la plus belle halle de toutes, qui s'appelle Gimlé13. Elle restera en place lorsque cieux comme terre auront disparu, et sera habitée de tout temps par les hommes bons et justes. Ainsi est-il dit dans la Voluspa :

    "Je vois se dresser une halle

    Plus brillante que le soleil

    Couverte d'or, à Gimlé :

    Ici, à jamais, habiteront

    Dans la joie les peuples fidèles,

    Et pour l'éternité

    Jouiront du bonheur."

     

    Gangleri demanda encore : "- Qu'est-ce qui protégera cet endroit, lorsque les flammes de Surtur dévoreront ciel et terre ? "

    Très-Haut répondit : "- On raconte qu'un autre ciel se trouve au sud et au-dessus de celui-ci, et qu'on l'appelle Andlang14. Mais qu'un troisième ciel se trouve encore au-delà et au-dessus, et qu'il se nomme Vidblainn15. Cette demeure se trouverait dans ce ciel-ci. Mais nous croyons que seuls les alfes résident à présent en ces lieux."

     

    1  La plaine toujours verte

    2  La maison lumineuse.

    3  L'apathique, le draineur d'énergie.

    4  Dans les Grimnismal

    5  Destin passé, destin présent, devoir à venir.

    6  Dans le Fafnismol

    7  Dans les Grimnismal

    8  Dans la Voluspa

    9  Scintillant

    10  Rocher des cieux

    11  Siège des Tombés

    12  Siège de l'entrée

    13  Protégée du feu, ou couverte de gemmes

    14 Vaste étendue

    15  Largement bleu

     

     Encadrement : Bouloute créations

    Gylfaginning                                                                                                                                                            Gylfaginning


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  • Sagas islandaises. Régis Boyer.

    Des lames des Vikings

     

     

    En regardant ce reportage, j'ai pensé à la mention des "épées bleues" dans les textes, et à la technique de recuit "au bleu" qui consiste à donner plus de résistance à un acier très dur. Je ne dispose pas de preuves que ces épées bleues, figure de style certainement, mais révélatrice peut-être d'une certaine qualité d'acier, aient été des +Ulfberht+, mais elles étaient remarquables, au point que certaines avaient des noms.

      

    Dans la saga d'Hakon le Bon (961) 

    Il nettoya les ponts avec son épée bleue (Kvernbit)
    Qui régit le sort de la guerre, sur les planches
    Des onze navires, des vikings du Vindland.
    Célèbre depuis lors est le nom de Hakon.

     

    La vengeance du jarl Hakon (965) dans la Saga des fils d'Eirik. 

    Je dis la louange de l'homme, du héros,
    Qui sur ses bons bateaux parcourait l'océan,
    Comme un oiseau de proie et voulait conquérir
    Une rouge vengeance pour son parent mort.
    Par son épée bleutée ruisselante de fer,
    Qui s'abattait rapide et qui figeait la vie
    De celui qui avait pris la vie de son père,
    De lui et de ses hommes pendant le combat.

      

    La bataille de Svolder, an 1000, dans la saga d'Olaf Tryggvason 

    "Epées et boucliers cliquetaient vivement,
    Et la chanson des lances à bord était stridente
    Et les flèches sifflaient en essaims resserrés
    Contre les courageux combattants du Serpent,
    Et toujours, a-t-on dit, le jarl Eirik pouvait
    Aligner à ses côtés des ennemis frais,
    Des armées entières de Danois et Suédois,
    Maniant haut les lames bleues de leurs épées."

     

    Le retour en Norvège en 1035 du roi Magnus Olafson le Bon 

    "Il ne fait vraiment aucun doute que celui
    Qui veut commander sur la mer et sur la terre,
    Fera ressentir dans le sang à l'ennemi
    L'acier bleu tranchant de Hneiter, l'épée d'Olaf.
    Ce jeune homme généreux, qui sème de l'or,
    Courageux fils de Norvège, âgé de dix ans
    Equipe ses navires sur les lacs de Russie,
    Pour prendre sa couronne, aidé de ses amis. "

     

    Histoires de quelques épées nordiques célèbres   

     

    Les secrets de l'épée viking   Baesing, épée du roi Olaf Geirstad-Alf, fils de Gudrod le Chasseur. Récupérée dans son tombeau, elle fut offerte à Saint-Olaf par son oncle et père adoptif  Hrani Roesson (995). Olaf s'en sépara en recevant le baptême (1010), car l'épée était païenne, et, comme elle lui manqua, il la récupéra en 1020, la rebaptisant Hneiter. Il la perdit en mourant à Stiklestad (1030).
    Elle fut prise par un suédois et par la route des Varègues, arriva en Orient (autour de 1100). Elle fut placée sur l'autel de l'église Saint-Olaf à Constantinople par l'empereur Alexis Ier (Kirjalax). On ne sait donc pas trop comment elle aurait pu finir en 1035 dans la main de Magnus Olafsson ainsi que le prétend Arnold Scalde des Jarls. Elle aurait ensuite été ramenée en Norvège par Eindride Unge, et remise au jarl Sigurd qui lui aurait donné le nom de Bâtarde et l'aurait utilisée lors de la bataille de Re (1163). Par la suite, on perd sa trace.

     

    Les secrets de l'épée viking   Fotbrei (large d'un pied) : épée de Thorlaf Skolmsson auprès du roi Hakon le Bon à la bataille de Fitjar (961)

     

    Les secrets de l'épée viking   Kvernbit, la "mordeuse de meule", fut un cadeau du père adoptif d'Hakon le Bon, Adelstein, à son fils. Elle était réputée la meilleure épée jamais forgée en Angleterre. Elle s'illustra lors de la bataille de Fitjar. On la retrouve en 1016 dans la main de Saint-Olaf lors de la bataille de Nesjar en Vestfold.

     

    Les secrets de l'épée viking   Leggbit, "mordeuse de jambes", était le nom de l'épée d'Hakon Herdebreid lors des batailles en Ulster (1103).

     

    Et quelques autres, parties en Islande :

    - Grasida, de Gisli Thorkelson de More, un des premiers colons en Islande.

    - Adalsranaut, de Gunlaug Ormstunge

    - Hviting : Holmgang Berse de Soebo,

    - Kongsnaut, de Kjartan

    ce qui aurait tendance à confirmer la colonisation de l'Islande par les classes sociales aisées de la société norvégienne.

     

    Et bien sûr, les légendaires :

    - Gramr  (Balmung) de Sigmund, reforgée pour Sigurd (Volsunga Saga)

    - Mimung, épée d'Odin. 

     

    viking                                                                                                                                                                                                      viking 


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